2 août 2023 à 04:01, mis à jour le 30 avril 2024 à 05:21
On pourrait peut-être demander à la littérature d’éclairer la face la plus sombre de cette guerre que mène la Russie à l’Ukraine. Je relis La plaisanterie, le chef-d’œuvre de Milan Kundera, mort il y a quelques jours au bel âge de quatre-vingt-seize ans.
Il met au jour dans son roman le monde dévasté qui est le nôtre, un monde...