Une partie des opposants aux mesures sanitaires ont trouvé de nouvelles cibles, comme l’Otan ou l’OMS. Après la pandémie, «ils sont passés à autre chose», estime l’universitaire Pascal Wagner-Egger.
Elsa Rohrbasser
12 juin 2023 à 00:03, mis à jour le 30 avril 2024 à 05:03