Les bénévoles 6/7 • Roger Mamié a débarqué en 1986 au CO Domdidier, qu’il n’a jamais quitté. Il a appris le français et tout fait pour ce club ou pour la fédération suisse, histoire de rendre à la lutte ce qu’elle lui avait donné.
17 août 2015 à 21:52, mis à jour le 18 avril 2024 à 17:03
«Je suis une pipelette quand je parle de lutte», avait averti Roger Mamié. L’Uranais a rejoint le Club Olympic Domdidier en 1986, date à laquelle il s’est mis à la langue de Molière. «A l’obtention de ma maturité, je pouvais à peine aligner deux mots en français», se souvient-il. «Quand j’ai déménagé sur Fribourg, j’ai changé mon affectation militaire pour...