30 décembre 2014 à 19:40, mis à jour le 18 avril 2024 à 16:09
Ce bruit sourd, ces pulsations qui faisaient vibrer jusqu’au béton des bâtiments, ces parfums d’encre et ces relents de graisse, ces dizaines de milliers de journaux crachés chaque soir par un «monstre» fascinant, les cliquetis du bal aérien de la chaîne d’expédition, c’est fini. Cette nuit, la rotative de St-Paul s’est définitivement tue après avoir imprimé «La Liberté» que vous...