Pour faire face à la baisse sévère des revenus publicitaires consécutives au Covid-19, «La Liberté» est contrainte de recourir au chômage partiel à compter du 20 avril prochain. Une décision difficile qu’explique Serge Gumy, rédacteur en chef de «La Liberté».
François Tardin
4 avril 2020 à 16:28, mis à jour le 29 avril 2024 à 21:45
En cette période de pandémie, rarement le caractère de service public de «La Liberté» n’est apparu aussi clairement. Votre journal s’impose comme un relais incontournable des décisions des autorités, il les questionne de manière critique, raconte le magnifique travail accompli par tous ces héros du quotidien, soignants, bénévoles, facteurs et vendeurs. Plus que jamais, nous sommes un trait d’union entre les Fribourgeois....