27 mai 2023 à 04:01, mis à jour le 30 avril 2024 à 04:57
Parmi les nombreuses excuses inventées pour nous convaincre de rester les bras croisés face au dérèglement climatique, celle qui veut que l’impact de notre pays sur les graves événements à venir soit insignifiant est particulièrement répandue.
Dans son débat face à Jacqueline de Quattro (La Liberté du 23 mai), Michael Graber reprend allégrement l’argument. J’aurais aimé que M. Graber...