22 octobre 2016 à 07:00, mis à jour le 18 avril 2024 à 18:49
On est samedi, les commerces ferment dans trente minutes et je n’ai plus de café. Je passe en revue mes placards pour m’apercevoir que toutes mes réserves se sont sournoisement épuisées. En ouvrant le frigo, je dois me résoudre à l’évidence: entre le sourire narquois d’une carotte oubliée et les contorsions d’un vieux tube de mayonnaise,...