1 juillet 2017 à 07:00, mis à jour le 29 avril 2024 à 15:37
C’est une belle matinée d’été, Philippe Duja déguste du boudin dans mon autoradio tandis que je me promène sur les routes fribourgeoises. Au loin, une masse confuse attire mon regard. Je coupe le moteur et les cris de saucisses pour m’approcher du petit tas inerte, tout en poils et en tendresse; l’œil vide et la nuque...